- EAN13
- 9782080252623
- Éditeur
- Arthaud
- Date de publication
- 06/10/2021
- Collection
- Arthaud Poche
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
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Papier - Arthaud 8,90
Alors que la colonisation va bon train et que de nombreux navires s’aventurent
vers l’inconnu, les récits de naufragés du XVIᵉ au XVIIIᵉ siècle mettent en
lumière le caractère périlleux de ces conquêtes. Les récits de Sosa Sepulveda,
Laujardière et Pelletier éclairent chacun à leur époque ces tragédies d’une
façon différente. En 1552, Manoel de Sosa Sepulveda, sa femme et ses enfants
échouent sur les côtes d’Afrique australe et y meurent après avoir été traités
cruellement par les Cafres. En 1687, Guillaume de Laujardière, en déroute, est
recueilli par des Cafres et vit auprès d’eux un an. Enfin, alors qu’il n’a que
14 ans, Narcisse Pelletier, abandonné par son équipage après une attaque en
1858, est adopté par un homme de la tribu nomade aborigène des Ohantaalas.
Entre exagération de la bestialité des « sauvages » et tentative
d’humanisation, ces textes nous interrogent : quelle est la cause des malheurs
de ces naufragés, les « sauvages » ou leur propre civilisation ?
vers l’inconnu, les récits de naufragés du XVIᵉ au XVIIIᵉ siècle mettent en
lumière le caractère périlleux de ces conquêtes. Les récits de Sosa Sepulveda,
Laujardière et Pelletier éclairent chacun à leur époque ces tragédies d’une
façon différente. En 1552, Manoel de Sosa Sepulveda, sa femme et ses enfants
échouent sur les côtes d’Afrique australe et y meurent après avoir été traités
cruellement par les Cafres. En 1687, Guillaume de Laujardière, en déroute, est
recueilli par des Cafres et vit auprès d’eux un an. Enfin, alors qu’il n’a que
14 ans, Narcisse Pelletier, abandonné par son équipage après une attaque en
1858, est adopté par un homme de la tribu nomade aborigène des Ohantaalas.
Entre exagération de la bestialité des « sauvages » et tentative
d’humanisation, ces textes nous interrogent : quelle est la cause des malheurs
de ces naufragés, les « sauvages » ou leur propre civilisation ?
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